Bien plus qualifiée dans la photographie animalière que dans d’autres domaines, ce tutoriel s’appuiera notamment sur des exemples se référant aux animaux. Toute personne détenant un animal peut s’avérer désireuse d’obtenir de bonne photographie de son compagnon, alors pourquoi ne pas vous laissez tenter par l’expérience ?
N’étant cependant compétente que dans le cadre de l’utilisation d’un APN (Appareil Photo Numérique) de type Reflex, ce tutoriel s’adresse donc principalement aux propriétaires de ces boitiers.
Même si la plupart des conseils et astuces sont donnés sous l'exemple d'un boitier Canon, ils s'appliquent également aux appareils produits par d'autres marques !
Cependant, ils ne pourront être appliqués que dans une certaine limite pour les bridges et les appareils numérique de type compacts.
N’hésitez pas à me faire remonter vos avis et questions au sujet de cet article, après l’avoir intégralement lu ; les critiques font avancer beaucoup de choses, qu’elles soient bonnes ou mauvaises !
Pour commencer, un Reflex est constitué de deux parties principales, lesquelles sont le boitier et l'objectif. Ces deux éléments sont tout aussi importants l'un que l'autre dans l'obtention d'une bonne photographie.
Il convient donc de ne pas se précipiter sur les boitiers et objectifs de premiers prix, qui sont malheureusement bien souvent de qualité médiocre, dont l'espérance de vie est fortement limitée.
Les boitiers actuels proposés à la vente par Canon - qu'ils soient tous publics, semi-professionnels ou destinés aux personnes qui ont fait de la photographie leur métier - semblent tous suffisamment bons pour se lancer dans la photographie au titre d’amateur.
Bien entendu, si vous êtes novices en la matière, inutile de vous lancer dans l'achat d'un boitier hors de prix, dont vous n'exploiterez pas forcément toutes les caractéristiques. En effet, les boitiers numériques de la gamme tous publics (400D,...,700D) semblent tout à fait propices pour débuter dans la photographie amatrice.
Ces boitiers disposent d'un capteur APS-C (ou APS-H), profitant alors d'un coefficient multiplicateur de 1.6, réduisant ainsi l'angle de champ depuis lequel résulte un effet de "zoom".
Par la suite, le choix du boitier en question dépendra notamment de votre budget. Les boitiers les moins chers (environ 200€) seront uniquement disponibles en occasion ; les productions en usines ayant été stoppées, les stocks de neuf ont été épuisés en magasin depuis déjà quelques années pour certains !
Pour les boitiers achetés d'occasion, n'oubliez pas de demander au propriétaire initial s'il a fait effectuer un contrôle du capteur, et quels ont été les résultats des tests dans le cas d'une réponse positive.
Vous n'obtiendrez en effet que des photographies floues avec un capteur "décalé" de plus de 20 microns, lequel provoquera des patinages beaucoup plus fréquents de l'AutoFocus.
Il existe une très large gamme d'objectifs proposés par Canon, mais aussi par Tamron et Sigma qui proposent également des optiques compatibles avec les boitiers Canon, pour des prix généralement bien plus abordables/raisonnables.
Soyez prudents quant à la compatibilité des objectifs avec votre boitier : les optiques Nikon nécessitent l'utilisation d'une bague d'adaptation sur les boitiers de la gamme EOS, sans oublier que le réglage de la mise au point doit impérativement se faire en manuel !
A savoir également que certains objectifs Canon (type EF-S par exemple) ne sont pas compatibles avec certains boitiers. N’oubliez pas de vous renseigner avant tout achat.
Cependant, comme précisé plus haut, les entrées de gamme sont assez déconseillées et c'est pourquoi il est fortement utile de parcourir les comparatifs proposés sur certains sites Web spécialisés dans ce genre de tests. En effet, il est parfois possible que le prix des optiques vendus par Canon ne soit aucunement justifié vis à vis des objectifs similaires disponibles dans d'autres marques.
Votre choix doit tout d'abord porter sur l'utilité de l'objectif que vous vous apprêter à acheter ; sachant évidemment qu'un objectif polyvalent présente un intérêt bien plus conséquent, bien que parfois aux dépends de la qualité des photographies aux focales extrêmes.
C’est aussi la raison pour laquelle il est important de savoir déchiffrer les références d’un objectif, et de poser clairement vos besoins.
L'objectif Macro : focale fixe
Personnellement, et dans le cadre de la photographie de petits animaux tels que les rongeurs, mon choix se porterait d'office sur un objectif Macro, dont la qualité des lentilles et le rapport de grossissement vous assure des clichés de qualité.
Si vous cherchez à photographiez des animaux que vous savez approcher, un 50 ou un 60mm est tout à fait suffisant ; inutile de prendre un optique de focale plus importante. Dans le cas d'animaux plus petits (insectes, arachnides, etc.) ou simplement moins facilement approchables (reptiles non manipulables, serpents venimeux, papillons, etc.), il est d'autant plus intéressant de se tourner vers les longueurs de focales dépassant les 100 mm.
A noter que plus un objectif est court, plus l'angle de champ est large, et plus il aura tendance à déformer l'image.
Cependant, il s'agit d'objectifs qualifiés de focale fixe, qui ne disposent donc pas de zoom ; ce qui implique que lorsque vous cherchez à faire des gros plans, il faudra vous-mêmes vous rapprocher du sujet.
Les objectifs Macro offrant une distance minimale de mise au point assez faible, ils permettent de se rapprocher très près du sujet que vous souhaitez photographier.
De façon générale, les focales fixes sont des objectifs légers puisque de conception simple, et laissant libre champ à la créativité du photographe grâce à l’absence de zoom et à son ouverture maximale importante.
Hormis ce point pratique pouvant éventuellement surprendre, il est aussi important de préciser que ces optiques Macro ne sont généralement pas données ; un budget minimal de l'ordre de 400€ environ est à prévoir.
Le Zoom : focale variable
Il est également possible de s'orienter vers un objectif bien plus polyvalent pour le quotidien, qui dispose cette fois du plage de focales permettant de zoomer, et donc présentant une souplesse d'utilisation très agréable.
Ce type d’objectif s’avère être à la fois très versatile et flexible, vous offrant l’occasion de ne prendre qu’un seul objectif plutôt que toute votre collection.
A l’heure actuelle, ces objectifs sont classés dans trois catégories :
Certains objectifs s’invitent dans ces 3 catégories de façon simultanée, tel que le 18-200 mm, que l’on nomme alors les « transtandards ».
Outre cet aspect plutôt intéressant, il faut également considérer la distance minimale de mise au point - en deçà de laquelle l'objectif sera incapable de vous donner une image nette - qui sera parfois bien trop importante pour des prises en intérieur (sauf si vous disposez de pièces spacieuses).
L'ouverture du diaphragme sera généralement bien plus limitée que pour les objectifs Macro, nécessitant ainsi un apport de lumière plus important.
Il m'est enfin impossible de vous donner un ordre de prix pour ces objectifs, tant la gamme proposée est riche en possibilités.
Un compromis entre focale fixe et zoom ?
Certains zooms proposent en effet des ouvertures habituellement disponibles uniquement sur les focales fixes, ce qui les rend ainsi bien plus créatifs ; la profondeur de champ est de ce fait nettement plus gérable. Ils offrent d'autant plus une souplesse d'utilisation importante, tout comme une qualité d'image bien supérieure à un zoom couvrant la focale équivalente.
Cependant, ce sont des objectifs particulièrement onéreux (dépassant généralement la barre des 1000€), à ne pas acheter dans le cas où vous souhaitez ne pas vous lancer dans la photographie à un niveau élevé.
Quels sont les paramètres à considérer pour choisir ?
Selon vos besoins, vous devez déterminer :
Afin d'éviter de bidouiller les boutons et molettes pendant des heures, il est impératif de comprendre le fonctionnement du boitier et la signification des chiffres s'affichant sur le cadran.
Ceci dit, inutile de se précipiter, et voyons tout d'abord quels sont les modes automatiques à notre disposition, pour ensuite pousser plus loin vers les modes semi-automatiques et manuels.
Bien entendu, la première chose à faire est de vous référer au manuel de votre boitier ; lequel explique en détail toutes les fonctionnalités disponibles et les réglages pouvant être opérés.
Il ne faut pas se voiler la face : on n'obtient pas de bonnes photographies au sens professionnel du terme en utilisant toujours les modes automatiques, mais bien en se lançant dans le périple des modes manuels !
Outre les réglages du boitier, les conditions environnementales sont également extrêmement importantes vis à vis du rendu final de la photographie.
La luminosité est la clé !
Logique, mais c'est seulement lorsque l'on commence à tester un peu ses réglages selon les différentes intensités et températures de lumière, que l'on se rend compte à quel point elle est importante.
En effet, plus l'environnement est lumineux, plus court sera le temps d'obturation et plus petite pourra être l'ouverture, donnant ainsi la possibilité d'obtenir une large profondeur de champ.
En intérieur, l'idéal serait en fait de se passer totalement du flash inclus dans le boitier, remplacé alors par des sources lumineuses continues d'une température avoisinant les 5500K (ampoules Daylight).
En macrophotographie, un flash annulaire ou avec doubles réflecteurs peut être utilisé, mais reste malgré tout déconseillé pour préserver la rétine de nos petits animaux (et onéreux pour les amateurs).
Le cadrage, la composition et les lignes de force
Le cadrage est d'autant plus important dans le sens où il est le seul à donner un aspect dynamique à la photographie ; un sujet centré donnant un effet symétrique, statique.
La composition fait référence à la façon dont les différents éléments de la scène photographiée sont arrangés entre eux. Elle s’articule autour de l’absence ou non de certains éléments, de leur place, de leur netteté (cf. profondeur de champ), de la perspective, des lignes de force et des couleurs et contrastes sur la photographie.
Les lignes de force divisent alors le capteur en 9 parties égales, respectant ainsi la règle du nombre d'or, selon laquelle le rapport entre la plus petite et la plus étendue zone de l'image se doit d'être équivalente au rapport entre la plus grande partie et le tout.
La règle des tiers permet ainsi d'appliquer la règle d'or ; le modèle photographié se doit donc d'être à la fois placé sur une ligne de force, mais aussi situé dans l'un des tiers de l'image.
La mise au point (MAP)
Il existe trois modes d'AutoFocus possibles, chacune utilisant une méthode différente : AI Servo, One Shot et AI Focus.
Le mode AI Servo, dédié dans le cas de sujet(s) mobile(s), procure un AutoFocus continu qui cherche en permanence à faire le point et sans confirmation AF, puisque la mise au point n'est jamais fixée.
Lorsque vous n'êtes pas en mesure de vous permettre le luxe d'une profondeur de champ importante, je vous conseille l'utilisation de ce mode.
Le mode One Shot, vous permet de choisir le collimateur sur lequel vous souhaitez faire la MAP et vous donne la confirmation AF (bip, point rouge). Il est pour moi le mode à utiliser afin de réussir vos clichés lorsque vous ne disposez pas d'une faible ouverture.
Le mode AI Focus, à bannir absolument. Il est totalement automatique, et vous empêche de garder votre MAP afin d'effectuer votre recadrage.
La mise au point est TOUJOURS à faire sur les yeux : le regard est le plus important !
Si vous souhaitez utiliser des lampes fluo-compactes (basse consommation), il est possible que vous ne rencontriez certains problèmes concernant la mise au point (MAP) puisque ces lampes présentent un spectre avec peu d'infrarouges, pourtant utiles à l'autofocus (AF).
Le mode d'acquisition
Vous avez généralement le choix entre trois modes d'acquisitions, lesquels sont la prise vue par vue, en rafale ou en retardateur.
Afin d'être certain d'avoir correctement fait la MAP sur les yeux, que la composition de la photographie et le placement du sujet est optimal, la prise vue par vue me semble idéale.
Par expérience, la plupart des clichés pris en rafale présentent une mise au point faite au mauvais endroit ; l'animal se déplaçant, il peut également se rapprocher d'une source de lumière vous obligeant à augmenter la vitesse d'obturation ou encore à réduire l'ouverture ainsi que la sensibilité ISO.
Ces paramètres sont difficilement modifiables "dans le feu de l'action", d'autant plus si vous n'avez pas encore acquis certains réflexes.
Inutile de vous préciser que le choix du retardateur est loin d'être rigoureux. A oublier, donc.
Le mode de mesure
Quatre possibilités s'offrent à vous pour mesurer la luminosité de votre sujet ; lesquelles sont la mesure évaluative [(●)] (mesure de la luminosité sur la totalité de l’image), sélective [( )] (mesure réalisée sur un disque d’environ 9 à 10%), spot [●] (mesure de la luminosité sur un disque central d’une surface proche de 4 à 5% de l’image totale), moyenne à prépondérance centrale [ ] (mesure réalisée majoritairement au centre de l’image tout en prenant les extrémités en compte).
Pour les trois derniers modes, l'utilisation de la touche Mémorisation d'exposition ✴ est nécessaire dans le cas d'un recadrage, souvent utilisée dans le cas d'un contre-jour.
L’exposition est généralement mesurée sur le collimateur central, sauf en mode automatique et en mesure évaluative, où elle sera mesurée sur le collimateur qui fait la MAP.
La vitesse d'obturation
Il s'agit de la durée pendant laquelle l'obturateur est ouvert, provoquant ainsi l'exposition du capteur à la lumière, qui s’exprime en fraction de secondes. Elle influence la façon dont le mouvement est perçu (flou de bougé, de sujet).
Une fois en mode M, elle est réglable à l'aide de la molette se situant près du bouton déclencheur : le temps d'obturation sera minime quand le chiffre visible dans l'oculaire (reportez-vous à votre manuel pour plus de précisions sur sa position sur le cadran) sera le plus important (1000 signifiant alors 1/1000ème de seconde) et vice-versa, sachant que la plupart des boitiers seront limités à un temps d'obturation maximal de 30 secondes.
Afin d'obtenir une photographie qui ne rendra pas vos propres tremblements (flou de bougé), il est conseillé de régler au minimum le temps d'obturation sur 1/focale. Dans le cas où vous utilisez une focale de 60mm, ce sera donc 1/60. Si vous utilisez un boitier contenant un capteur APS-C, il faudra penser à doubler cette vitesse.
Ceci dit, il ne faut pas oublier que vous devez également considérer le mouvement du sujet photographié (flou de sujet), et régler la vitesse d'obturation en conséquence.
De plus, certains objectifs IS (Image Stabilizer) permettent de réduire parfois jusqu'à 4 fois la vitesse d'obturation, un avantage lorsque vous êtes déjà haut dans les ISO, avec une ouverture maximale.
L'ouverture (diaphragme)
C'est elle qui permet le passage de la lumière d'une façon contrôlée, d'autant plus qu'elle est liée à la profondeur de champ ; paramètre important pour les sujets présentant un relief important.
Par exemple, si l’on considère l’objectif de base chez Canon (18-55mm f/3.5-5.6), il peut ouvrir au maximum à f/3.5 à 18mm (grand angle) et à f/5.6 à 55mm (zoom) : l’ouverture maximale change donc avec la longueur focale.
Retenez simplement que :
Chaque fois que vous engagez un cran au niveau de la molette de réglage, vous divisez ou multipliez le diamètre du diaphragme par deux, ce qui engendre la multiplication ou la division de la quantité de lumière qui atteint le capteur par deux.
En ce qui concerne la profondeur de champ, retenez également que :
De façon plus intuitive, on note alors que plus le nombre f est grand, plus la profondeur de champ est grande, et inversement.
En résumé, on retient que :
Veillez cependant à ne pas abuser sur les valeurs d'ouvertures : les aberrations chromatiques et géométriques, tels que la diffraction, tendent à se faire remarquer à très faible ouverture (environ f/22).
Certes, les objectifs proposant de larges ouvertures (f/1.2) permettent donc de prendre des photographies plus que correctes avec une luminosité médiocre, mais ne sont pas adaptés à des photographies de paysage. En effet, la profondeur de champ est nettement trop réduite ; vous n'obtiendrez qu'une zone de netteté minimale.
La balance des blancs
Elle permet d'apprécier finalement la température de lumière dont vous disposez pour faire vos photographies, afin que l'appareil soit en mesure de rétablir les couleurs initiales à leurs valeurs respectives, telles que vous les voyez de votre œil.
Pour ce faire, vous devez utiliser la fonction Balance Des Blancs (BDB) Personnalisée, bien plus précise que les fonctions pré-enregistrées pour une température de couleur précise.
Ainsi, en « studio », vous pouvez utiliser aussi bien une ampoule Daylight (T=5500K) qu'une quelconque autre ampoule (à incandescence de préférence, pour les raisons citées dans le paragraphe traitant de la MAP).
Veillez cependant à ne pas exposer l’animal sous des lumières de températures de couleur différentes, sous peine de fausser la couleur de l’animal.
L’exposition
Désignant l’action du rayonnement lumineux sur le capteur, l’exposition est le paramètre technique le plus important dans la réussite de vos photographies.
Retenez simplement qu’une photographie :
Elle dépend de 3 paramètres, qui ne sont autres que la vitesse d’obturation, l’ouverture et la sensibilité ISO.
Leur relation est finalement assez simple à comprendre puisqu’elle peut être représentée par un triangle : plus on augmente ces trois paramètres, plus l’exposition est importante.
Afin d'éviter un flou de mouvement chez les sujets assez nerveux, il est impératif de disposer d'une bonne luminosité, permettant ainsi d'obtenir une exposition équilibrée avec une vitesse d'obturation importante.
La sensibilité ISO
Elle permet simplement de faire des photographies avec une luminosité faible, et une vitesse d'obturation suffisante pour éviter un flou de mouvement tellement le capteur est sensible à la lumière.
Elle influence le bruit sur vos photographies, qui se représente par des petits points parasites responsables d’une perte de netteté dans les détails, d’autant plus visibles dans les zones sombres et uniformes.
Les capteurs 24x36mm présentant une taille, ainsi qu'une qualité plus importante, sans oublier celle du processeur digital ainsi que les autres composants concernés, permettent cependant de monter haut dans les ISO sans pour autant altérer de façon significative la qualité de l'image.
Ainsi, le nombre de pixels ne peut être considéré comme un paramètre influant sur la qualité de la photographie liée à la sensibilité ISO, contrairement au type de capteur utilisé ; une perte de qualité notable lors de la montée des ISO est due aux photosites plus serrés situés sur les capteurs APS-C, qui ont de ce fait tendance à chauffer de façon plus importante, alors qu'un nombre identique s'étale sur un capteur 24x36mm.
Pour le reste, il s'agit finalement d'une altération visuelle qui ne passe pas obligatoirement pour un problème selon l'opinion et les goûts de chacun.
Bien entendu, si vous disposez d'un boitier de quelques milliers d'euros comportant un capteur 24x36mm, vous pouvez éventuellement vous permettre de monter à 1600 voire 3200 ISO si nécessaire.
Trois paramètres principaux :
Au sujet de la profondeur de champ, elle est faible quand :
© Article non libre d'utilisation, merci de respecter mon travail !